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Eleonore Maijala
Pilier de la lumière
Eleonore Maijala
Puissance Théorique : 1500
Messages : 35
Sam 12 Aoû 2023 - 18:09
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I
Citation // titre
Nom :
Maijala

Prénom :
Éléonore

Âge :
26 ans

Date de naissance :
25 Octobre 1474

Lieu de naissance :
Bourgogne

Sexualité :
Asexuelle

Groupe :
Pourfendeur

Grade :
Pilier de la lumière

Taille :
2m

Poids :
90 kg

Avatar :
Lady Maria Bloodborne

Souffle de la  lumière

Son souffle se base sur des mouvements jouant sur la vitesse ainsi que la puissance tout en étant mobile. Certain affirme qu'il y a des mouvements si vif que même la lumière peine à suivre.
II
Qui es-tu ?
CARACTÈRE -
Un démon dans le corps d’un humain ou un humain dans le corps d’un démon ? Ça reste à définir. Qu’est-ce qui te différencie d’un genre ou l’autre ? Pour toi ta vie est ce qui prime par-dessus tout. Les autres peuvent être sacrifiés du moment qu’ils te permettent de survivre. Même tes amis ou la famille ? As-tu déjà compris ou même ressenti les liens du sang ? Les liens d’amitié sont très difficiles à comprendre pour toi, tu vois ça davantage comme une relation sociale plus amicale, moins périlleuse ou plus facile à exploiter lorsque la situation le demande. Il faut dire que si pour le genre humain tes réactions peuvent être compliquées à comprendre. Dans ton cas, il fonctionne avec de simple critère, comme inoffensif, inconnue, amical, dangereux. Toujours en rapport à toi, tu ne manques pas d’intelligence, mais tu reconnais mal quand les ambiances difficiles. Comme certains dilemmes moraux. C’est quoi la différence entre tuer un humain ou décapiter un démon ou écraser une fourmi ? La finalité est la même tu as pris une vie que cela soit par survie, par nécessité ou par plaisir.


Certains iront jusqu'à dire que tu n'éprouves aucun sentiment humain. Ils ne peuvent pas avoir plus tort. La joie ? Comment osé affirmer que tu n'en as jamais éprouvé ? Il vrai que te voir sourire n'est pas si commun, sauf lorsque tu infliges la douleur à autrui ou en les tourmentant, en les voyants combattre leurs vices pour mieux s'engouffrer dans la déchéance. Sentir le désespoir des démons qui sont censés infliger la terreur aux humains en te voyant. La colère ? Oui, tu n'aimes pas qu'on t'importune, on peut dire qu'aussi que la patience lorsqu'on t'aborde et que l'interlocuteur à l'air à mourir d'ennui… Il n'est pas rare que des dents volent lorsqu'on ne comprend pas le mot non. La peur ? A te voir beaucoup imagine qu'elle t'est étrangère, pourtant tu peux la ressentir sinon comment évaluer le danger ? Même si ce sont les cadavres dans ton placard qui t'effraie vraiment. A dire vrai peut-être est cette envie de connaitre les aspects les plus noirs de l'humain qui te rende si inhumaine. Quand est-ce que tu éprouves le plus de joie ? Au moment de voir tes congénères s'engouffrer dans les abysses où ceux qui malgré qui ont touché le fond en ressortent d'une lumière plus grande encore ? Quant au pêcher de l'envie entre ton désir de puissance, celui de connaissance, mais aussi l'autre.


D'ailleurs tu aimes aussi qu'on te reproche certains de tes traits. Pour mieux renvoyer l'hypocrisie d'autrui sur les propres convictions. Si pour beaucoup les démons sont une infamie à éradiquer pour toi ils sont ta planche de salut, car vu tes vices tu aurais eu vite fait de trouver des monstres humains à combattre sur lequel on t'aurait guidé. Car es-tu l'unique responsable de ton code de conduite ? Au moins en majeure partie, mais laquelle est la véritable raison pour laquelle tu combats les démons ? Quoi qu'on en dise tu es loyal, envers toi-même en premier et celui de ton camp. Après tu sembles avoir souvent raison ? Ce qui te se sauve est d'être capable de réaliser avec froideur que tu as tort afin de mieux repartir. Ce qui est certain c'est que tu te considères comme une sorte d'être supérieur, car toi tu parviens à canaliser tes pulsions du moins la majorité, des souhaits qui te vaudrait une vie courte et mouvementée. Désormais comment vas-tu encore évolué ?

FACTS -
- Bien que faisant 2m elle est le membre le plus petit de sa famille.
- Elle parle cinq langues, le français, l’allemand, l’anglais, le japonais et le chinois.
- Ce qui la retient principalement de devenir un démon est la peur de perdre sa mémoire humaine.
- Ironiquement, elle a parfois l’image de l’héroïne désintéressé en sauvant des victimes en danger mais généralement la raison de son intervention est toute autre.
- Éléonore n’a aucune réaction physique lorsqu’elle ment.
- Ses yeux sont sensibles à la lumière.
- Bien qu’elle semble capable de digérer de la chaire de démon elle en obtient aucun bénéfice particulier.
HISTOIRE - On pourra dire que dès ta naissance dieu annonça la couleur de ton destin. Celui de naitre dans le sang, d'une césarienne qui fait incroyable ne tua pas ta mère, grâce à un médecin talentueux qui avait besoin d'expérimenter pour une future naissance d'une personnalité au combien plus importante. Le sang fut versé en abondance, la guerre opposant Charles le Téméraire à la confédération suisse des VIII catons et au duché de Lorraine débuta le même jour de ta venue au monde. Ton père ainsi que tes frères en âge de combattre parvient à survivre à cette lutte.

Dès ton plus jeune âge le regard attentif était capable de déceler une particularité chez toi. Ta facilité à prendre la vie, comme ce malheureux pigeon dont tu arrachais les plumes qui furent relâchées uniquement lorsqu'il ne montra plus signe de vie. Mais hélas c'était des jeux d'enfant, cruel comme l'innocence de l'être ne différenciant pas le bien du mal. Une notion manichéenne qu'on t'apprit avec le christianisme. Des paroles intangibles en sans substance durant une longue partie de ta vie. Sans compter que tu réalisas bien souvent le premier péché par tout même. Expérimenté part toi et comprendre pourquoi telle ou telle chose sont interdite. Cela te valut bien des coups, t'enseignant la douleur te faisant comprendre ce qui pouvait faire mal. Mais toi cette leçon tu ne l'avais pas comprise en te disant que tu allais seulement trop loin. Non, toi tu comprenais surtout ce que tu infligeais aux autres et surtout qu'il fallait éviter de se faire prendre. Éléonore tu compris bien vite qu'il fallait éviter de poser des questions sur les contradictions entre les actes des fidèles et leur dogme religieux.

Surtout que tu as réalisa vite que si dieu n’est qu’amour, pourquoi toi tu ne parviens pas a sentir ce sentiment ? L’une des rares fois où tu as tenté un acte d’altruisme c’était pour essayer de ressentir de l’affection envers ta famille. La réaction fut détonante, aucun d’entre eux n’a compris ton geste et surtout furent inquiet de te voir sortir de ton craquant de froideur. Un stress grandissant en te voyant te cueillir en priant devant la tombe de ton plus jeune frère. Ce qui se stoppa bien vite, vu l’ennui grandissant que tu ressentis de façon exponentielle. Mais si dieu n’est qu’amour, pourquoi ta fait-il naitre femme ? Immense de surcroit, avec des yeux et une peau craignant la lumière du jour t’obligeant sens cesse à t’en abriter. On t’apprit les bonnes manières, l’étiquette, mais pour t’instruire davantage notamment sur comment manier une épée, comme le corps humain réagit, ça tu as dû le faire de toi-même.

Mais devais-tu rester dans une famille de petite noblesse ? Un jour avant ton treizième anniversaire, tu voulais ressentir l’excitation de la chasse, en terrifiant un enfant plus jeune que toi en forêt. Une traque que tu mis a terme en attrapant le jeune orphelin sans abri en mordant à pleine dent dans sa gorge. Le couchant comme un loup abat une brebis égarée, pas bien difficile lorsqu’on fait presque en comparaison la taille d’une femme adulte face à un freluquet chétif. Le sentiment de puissance passé. Tu te demandas pourtant quoi faire du corps, pour dissimuler ton crime tu grignotas des morceaux en te faisant la réflexion qu’il faudrait sans doute cuire ça la prochaine fois.

Tu rentrais en planifiant ton prochain crime. Si avec le temps, ta famille pensait que ton terrible tempérament s’était estompé, ce fut erroné, tu contrôlais juste mieux tes pulsions pour éviter d’être éliminé, t’elle la poule malformée qui se faisait battre à mort car elle n’était pas comme les autres. Rentrant chez toi, tu appris plus tard dans la journée qu’un enfant en grande partie dévoré, le corps mutilé, comme déchirer par endroits. Sans besoin de demander, ont ta décrit l’enfant en le racontant à ton père. Tu avais reconnu ta proie, mais tu compris aussi qu’une bête avait mangé ta victime. Comment un simple animal pourrait déchirer comme ils le disent un corps humain ?

Tu planifies ta prochaine escapade nocturne qui sera la nuit de ton anniversaire. Si tu allais à la rencontre d’un autre prédateur, il te faudrait des armes. Car à mains nues, il y a de bonne chance que tu deviennes la proie face à une personne qui te serait physiquement supérieure. Sortir de la demeure fut plus long que prévu, les gens avaient mis du temps à s’endormir. Mais tu y parviens tant bien que mal. Tu retournas sur les lieux ton méfait. La traque prit plusieurs heures. Apercevant un homme couché sur un autre, tu te rapproches à pas de loup, mais un son vena piquer ta curiosité. Oui, c’est bien ça, tu ne rêves pas c’est bien de la mastication, plus près celui allongé avait les yeux grands ouvert mais vide. Silencieuse comme la nuit, a porté d’épée tu frappas, le bras tombe net, le cannibale s’énerve et ramasse son bras bondissant en avant. Il te fait face énerver d’une colère plus noire que celle de ton père. Tes yeux s’écarquillent, il recolle son bras, ses yeux ses dents, ou même son visage démontre qu’il n’est pas humain. Ton poul s’accélère, tu transpires anormalement, des tremblements se retransmettent dans toute ta chaire, une envie subite de fuir. Là tu en fais la désagréable expérience non ? Tu l’avais tant aperçu dans le regard des domestiques ce mal-être qui te galvanisait. Oui, tu ressens pour la première fois de ta vie la véritable peur de mourir.

- Petite catin, tu vas payer pour m’avoir fait ça, pour la peine je vais t’offrir une longue agonie.

- Très chère êtes-vous un envoyer du diable ?
Dis-tu en baigaillant.

- Quoi ? Intrigué, il s’attendait à tous sauf à cette réaction, surtout en voyant malgré ton manque d’assurance un sourire dérangeant. Bien sûr que suis un démon, je n’ai peut-être pas la forcé de mes ainées, mais bientôt je serais plus puissant qu’aucun homme ne le sera jamais.

- Donc personne ne m’en voudra si je te pourfends. Ça ressemble à quoi un démon qui se démène pour sa vie ?


Les bras ballants, le regard vide, il se questionnait s’il n’était pas clairement tombé sur l’idiote du village. Il se trompe sur toute la ligne, ton instinct de tueur prit le dessus. Mais ce qui le pris de court c’est ce sourire heureux, ce qui l’énerva vite, de voir un sac de viande le considéré comme une aubaine. Deux fauves qui s’élancent l’un envers l’autre, tu esquives un premier coup, contre attaquant en prenant un pied au passage. Dans le second mouvement une partie de son visage s’envole.

- Mince, je me suis empor…té ?

Non, une chance, la créature n’est pas morte, son corps se reconstitue.

- Comment peux-tu savoir manier l’épée ?

- J’ai appris en observant mes frères et mon père s’entrainer. Une fois les mouvements en tête, il n’y a rien de compliqué à les reproduire pour tuer. Mais toi, tu trépasses quand même si on te décapite ?


Furieux la bataille reprit de plus belle, un combat sanglant. Cela traine trop, lui ne semble pas s’épuiser et ton corps commence à faiblir la preuve ? Ce pied a dans ton ventre, tu l’avais vu venir, mais impossible de le bloquer. Dos à un arbre, c’est en le prenant en appui qui dans une parade tu le décapitas. Mais toujours il hurle encore, son tronc lui reste actif, mais part dans le mauvais sens. C’est alors que tu le démembres. Mais il continue de se régénérer, jusqu’à ce qu’il soit réduit en morceaux assez petits. Tu plantes dès lors sa tête dans un arbre avec un couteau. Tu tombes épuiser mais joyeuse de la nuit. Tu l’interroges s’il y en a d'autres. Une présence répond par l’affirmatif. Un homme en armure qui visiblement a observé tout le combat. La main sur l’épée en pleine réflexion. Il retira sa main, il te demanda si tu aimes tuer des démons. Son regard clairement c’était du dégoût pour ta personne, mais quoi de mieux qu’un monstre humain pour tuer des monstres de satan ?

- Il y en a d’autre ? Mais celui comment on le tue ?

- Normalement en le décapitant avec une lame forgée dans l’acier du seigneur. Mais celui-ci le soleil fera son office.


Au moment de ses paroles, la lumière purificatrice éradiqua la bête, te forçant également à reculer. Renforçant l’idée que ta sensibilité au soleil est un trait démoniaque, mais a l’inverse tu restes majoritairement humain. Cet homme prit soin de te raccompagner pour la dernière fois chez toi. Ton père était furieux de te voir rentrer au matin en ayant volé son épée, mais aussi intrigué par la saleté et tes vêtements déchirés. Reconnaissant qu’il y ait un templier à sa porte. Ce dernier eut du mal au départ à les convaincre te laisser t’emmener pour combattre des démons. Il fut alors une démonstration de tes compétences en combat. Après ça et une longue matinée d’une conversation dont tu n’entendis rien. Tu ramassas des affaires, principalement des vêtements.

On t’amena à une église, au début il fut réticent à apprendre le souffle mais très vite il aperçut ton potentielle et il fut décidé qu’il vaille mieux un monstre pour en tuer un autre. On te forgea afin que tu n’attaques plus les humains, on te façonna pour que tu puisses étancher ta soif de violence, de sadisme envers les démons. Ton passage parmi les purificateurs fut une simple formalité. Survivre une nuit enfermée dans un sous-sol de démon. Il serait plus juste de dire que les démons étaient enfermés avec toi et non l’inverse. Autant dire que leur investissement en temps fut amplement rentabilisé. Certes on te détestait qu’importe le résultat mais on reconnaissait ta valeur et on te craignait pour cela. Cela t’allait, ton train vie était à la longue même plus confortable que l’ancien.

Tu sentais juste qu’il t’envoyait chasser les démons les plus redoutables. Autant dans l’espoir de se débarrasser de toi que celle d’éliminer de puissants ennemis on te confiait avec dégoût la chasse de certain déserteur. Tu aimes revenir pleines du sang de tes ennemis, les rares fois où tu sourirais en permanence sans qu’il se passe quoi que ce soit. Cependant, il fut une chasse qui ne se passa pas exactement comme prévu deux démons de haut rang. On t’envoya les traquer et les purifier. Il t’a fallu du temps pour les piéger, mais ce fut chose faite. Mais ce combat, oh ! oui, tu te rappelles du sentiment de mort pouvant arriver à chaque instant ? Cette clarté dans ton esprit confus ? Tu ne saisissais plus grand-chose, mais tu compris qu’il fallait t’élever à un état supérieur afin de surpasser tes opposants. Cette frustration aux échos de ce souvenir. Ah ! ce moment-là, tu fus plus puissante que tu ne l’avais jamais été ta vue s'était améliorée au point de voir les muscles, le sang permettant d'éviter des enchaînements qui auraient manqué d'être fatals. Hélas, il se produit une explosion qui te projeta au loin, empêchant de te relever et de bloquer tes proies, non tes ennemis au soleil qui se levait.

Pourquoi n’arrives-tu pas à reproduire ça ? Toi qui es capable de tout intellectualiser, cette fois même pour toi la charge émotionnel serait trop grande. Quant à ton cœur pourquoi était-il se serrer ? Oui, tu avais désormais peur de tes semblables, tu savais il te détestait et tu n’avais pas confiance en leur intention. A quel moment, il déciderait de rendre tes blessures mortelles ? Tu pris les devants en leur annonçant que tu allais poursuivre les démons qui t’on échapper jusqu’au bout du monde. Tu partais dans un état précaire et ils n’ont pas beaucoup insisté pour te retenir.

Durant de longues années tu les auras traqués éliminant de la vermine au passage. Impossible de pourtant leur mettre la main dessus. Juste des murmures sur leur passage. C’est ainsi que tu arrivas au japon ou tu fus accueilli plus amicalement que tu y aurais songé. Une chose t’amusa leur difficulté à prononcer ton prénom. Tu seras mal placé pour te moquer, après tout il t’aura fallu un temps pour apprendre à parler et lire leur langue afin d’avoir un langage plus soutenu. Qu’importent les reproches, parler comme un sauvage n’est pas toléré même à l’autre bout du monde. Grâce à de longs échanges de missives avec l’ordre des purificateurs, tu intégras l’ordre des pourfendeurs en prenant l’équivalent de ton rang de grand-croix, c’est-à-dire pilier. Ce qui promet une cohabitation très houleuse, entre ta croyance et les leurs, ton origine ethnie et le fait que du jour au lendemain un nouveau pilier débarque alors que personne ne la connaît. Autant dire que le nombre d’ennemis reste incertain et même ton ordre te demande de rester jusqu’à l’élimination des démons pourchassés ou jusqu’à stabilisation de la situation.
À PROPOS DE VOUS - Derrière l'écran, je suis moi et j'ai XX ans. Il s'agit de mon Troisième compte. J'ai connu le forum depuis le début. Je pense être disponible 7/7 jours. Enfin, le surplus d'imagination entrainé l'apparition de compte supplémentaire.
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Eleonore Maijala
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La Kitsune
j'observe le monde et j'en ris
La Kitsune
Puissance Théorique : Infinie
Messages : 274
Sam 12 Aoû 2023 - 20:16
Félicitations, tu es validé !

La Kitsune t'applaudit en riant.

Bravo, tu as passé la première étape de ton voyage ici... Pour poursuivre, il te faut :
- Signaler ton avatar dans le bottin
- Signaler ton souffle ou ton pouvoir sanguinaire
- Réaliser ta fiche technique avec l'aide de mes amis Yokaï gérant le système. Ils vont t'accorder ta puissance théorique sur laquelle tu devras te baser pour gérer tes statistiques.
La Kitsune
https://kimetsu-n-yaiba.forumactif.com
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