À mis chemin de du village pour Nankaido, tu as à peine ouvert ton livre sur la pêche que le bruissement d’aile du corbeau attire ton attention. Ton volatile attitré semble moins apeuré par toi qu’avant. A-t-il compris que tu ne lui ferais aucun mal ? L’ordre des pourfendeurs cherche-t-il à te tester ? Après tout, te faire passer leur examen serait ridicule pour toi. Tu massacrerais les démons plus vite qu’ils ne peuvent les capturer. Pas le temps d’admirer le paysage tu es le messager volant qui te mène à Okamura.
Malgré ta culture, tu ne connais pas assez les différente région et ville. Cependant, tu as dû plus d’une fois neutraliser des bandits en te contentant de seulement leur briser un bras ou une jambe ou une mâchoire avec le fourreau de ton arme. Le délice de leur supplice se fait sentir, mais pas le temps pour ce genre de plaisir. De toute façon, il vaut mieux éviter de tuer en plein jour des humains. Qui sait un témoin bien caché pourrait toujours divulguer ton crime. Et puis pourquoi prendre ce risque ? Ta soif de sang sera bientôt approuvée par celui des démons qu’on t’envoie tuer.
Tu observes au loin les portes de la ville, des gardes la surveillent soigneusement. Quel chemin emprunté ? Visiblement, on demande pourquoi on entre dans cette ville. Pour le moment avec cette lumière, même avec ta vitesse il serait difficile d’entrer sans être aperçu ou attirer l’attention. L’assaut frontal n’est pas envisageable, vaincre les gardes ne serait qu’une broutille, mais le chaos engendré t’empêcherait d’effectuer ton travail. Mais toute forteresse à sa faille. Tu optes pour une première approche demandée à entrer entre les murs.
- Bien le bonjour, garde d’Okamura. Je désire entrer pour affaire.S’il désire plus de détail, tu te feras une joie de leur annoncer que tu traques des fuyards dont certains sont de potentiel assassin. Bien que la nature même des fuyards en question demeura, sécrète. Si, jamais il ne te refuse l’accès et bien tu patienteras la nuit pour utiliser une technique et bondir sur ses murs si vite que personne ne soupçonnera ta présence. Espérons justement qu’une femme de deux mètres de haut, blanche comme la soie et étrangère ne les rebute pas.