Top site

Votez toutes les 2h !

Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Miyuki
Famille Kishinkai - La Mère
Miyuki
Puissance Théorique : 1600
Messages : 35
Dim 2 Juil 2023 - 22:24
I
Citation // titre
Nom :
***

Prénom :
Miyuki

Âge :
1 464 ans

Date de naissance :
Inconnue

Lieu de naissance :
Inconnue

Sexualité :
Hétéro

Groupe :
Kishinkai

Grade :
Ainée

Taille :
1m64

Poids :
50kg

Avatar :
Mukago Kimetsu no Yaiba

Pouvoir Sanguinaire :Camouflage optique

Le pouvoir de Miyuki est simple, il s’agit tout bonnement de devenir invisible en manipulant son image ou celle d’autrui, tout en ayant la capacité de rendre également ce qu’elle touche invisible pour une durée plus ou moins longue suivant la robustesse du camouflage.
II
Qui es-tu ?
CARACTÈRE - Quant à mon tempérament, il faut se mettre d’accord sur la base. Je ne suis pas la démone sanguinaire qui va trucider des humains par paquet de dix en me marrant comme une baleine. Je veux bien être bizarre, mais vous avez déjà vu un humain rire en coupant de la viande dans son assiette ? Mais si jamais vous empiétez sur mon territoire sans ma permission ou celle du père ou un membre du clan. Vous avez intérêt à avoir un petit truc intéressant ou sinon je vous vire menu militaire si je suis de bonne humeur ou je vous attache à un arbre avant de vous laisser cramer. Pas question qu’un démon vienne mettre le bordel dans mes affaires. Ah oui, les pourfendeurs ne sont pas autorisés à poser un orteil chez moi, c’est l’unique exception pour les humains.

Même si ces derniers donnent une chasse plus intéressante, car oui, j’aime la chasse et mes méthodes sont variées. Poser des filets, dissimulés des trous, des mécanismes qui vous envoie des troncs d’arbre dans la gueule la traque surtout et parfois je m’amuse à vouloir convaincre les humains de venir à la maison passée un bon moment. De loin le plus compliqué si je ne cache pas mes cornes. J’ai une autre passion dans la vie c’est travaillé le bois. Surtout les sculptures en bois, ou construire améliorer ma maison avec des meubles qui ont du cachet. Trop d’après certain, mais ça tous les goûts sont tous dans la nature. Mais en vrai péché mignon que j’ai, c’est celle de manger de jolie tête ! Ça concerne surtout les jeunes hommes ou les hommes tout cours tant qu’ils ne sont pas trop vieux, les femmes également, enfin celle vraiment belle aussi, mais déjà moins. Ca peut être un des rares moments ou je mange de la viande de démon, vu que l’avantage avec un démon c’est que leur bouille ou peut la manger plusieurs fois (même si niveau gustatif ça ne vaut pas les humains).

C’est un défaut, car parfois quand je suis en plein travail ou quand je déguste de jolis visages. Il m’arrive d’oublier que le temps il passe et que le soleil finit par ce lever. Ce qui me mène dans des situations pas possibles, comme devoir me sauver en marchant ou en courant avec mon ombrelle (oui je n’ai pas pris une arme comme ça pour rien) et ceux en prenant une démarche pour le moins spécial qui me fait littéralement passer pour l’idiote du village. En plus, on m’a déjà reproché d’être assez inconscient sur les bords ou me demander comme j’ai survécu aussi longtemps ainsi. Comme prendre une décision, mis tenir, et ensuite je réfléchis ensuite pour voir si c’est possible, perdant un temps fou dans un chantier impossible ou gaspiller mon temps. Les gars soient contents que je me casse la tête des fois, non parce que lorsque ça ne m’intéresse pas je vais vraiment au plus simple.

Et arrêter de dire que je suis lunatique ou même capricieuse. Sérieusement, ça sert à quoi de s’énerver pendant dix minutes pour que ça pourrisse la journée ? Non, si après il se passe un événement qui me rend joyeuse, je vais être contente. Et je ne fais pas de caprice, je sais juste ce que je vais et je le fais comprendre. Oui, d’accord il arrive que je n’obtienne pas toujours ce que je veux. Vous allez me reprocher d’être possessif ou tête en l’air ? Ce n’est pas ma faute si quand je dis que mon petit ami du moment ne semble pas comprendre qu’il l’est. Sans que non, mes affaires, mes amis ou ma famille c’est à moi et à personne d’autre, je ne les partage pas (je partage uniquement avec la famille et quand j’en ai envie). La maturité ? C’est bon, je le prouve suffisamment en gérant les affaires du clan lorsqu’il faut mettre la main à la patte. Surtout que temps que Tenma est le chef, je n’ai pas besoin d’en faire plus.
FACTS -
- L'ombrelle de Miyuki fait le même poids que sa propriétaire.
- Le nom humain de Miyuki est composé de trois lettres.
- Miyuki attache énormément d'importance à la famille.
- Miyuki aimerait vivre en pouvant juste consommer les aliments humains et les humains de temps en temps.
- Ses amants humain ou démon, finisse toujours par mourir ou fuir pour échapper lui échapper sans qu'elle comprenne pourquoi.
- Le nombre de pilier vaincu par Miyuki est de deux cent.
- Une statuette est fabriqué en bois pour tout les pourfendeurs tombé bravement.
- Bien que nombre de chose l'énerve, Miyuki n'a pas la moindre haine pour quiconque.
- Si jamais elle devait devenir Mère des Kishinkai, l'aspect gamine de Miyuki s'effacerait très vite.
HISTOIRE - Mon passé d’humain va être assez sommaire. Pour ce que je me souviens, j’étais une prostituée dans une grande cité du japon. Officiellement, c’était prohibé, mais bon vous savez les puissants savent les pattes à graisser pour rendre aveugle la condition de certaine dame offrant du plaisir. Je me rappelle que j’avais dix-huit ans au moment ou j’ai dû me transformer en démon. Loin d’être ma première année de service, c’était ma quatrième ou cinquième année au moins et si vous trouvez ça crade aller vous plaindre auprès de mes employeurs de l’époque. Hum… Il y a des souvenirs de cette période qui me rende nostalgique, tient un exemple, mes cheveux bruns et surtout le fait manger des légumes ainsi que les fruits. Rassurez-vous, ça ne me prend pas longtemps.

Comment ai-je fini ici ? Je ne sais plus, je crois que mes parents m’ont vendu pour payer des dettes ou sont morts, j’ai en mémoire d'avoir fait plusieurs foyers. Mais ce que je n’oublierais jamais, c’est les quatre jours qui ont précédé ma transformation. C’était une belle journée ensoleillée, mon premier client se révéla être un noble ayant une certaine renommée dont la femme venait de mourir. Il s’est jeté dans mes bras sans le moindre effort. Puis j’ignore mes mots dits durant le feu de la conversation. Je crois que j’avais dit qu’il restait ses enfants pour compenser l’absence de leur mère. Sauf, que son ivresse avec le chagrin on déformé mes propos. Mais à partir d’un moment, il est entré dans une colère noire, je me le remémore comme si c’était hier, j’étais terrifié pour ma vie et j’avais raison d’avoir peur. Ce type m’a envoyé une baffe qui me coucha au sol avant de frapper mon ventre à tellement de reprises que même mes avants en cherchant à me protéger on était cassé. Ce type hurlait.

- Tu croyais pouvoir devenir la mère d’un de mes enfants ?

Ma main humaine à couper que je n’ai jamais dit ça. Ou même aspirer à ça, en faîte pour l’époque, je crois que j’aspirer déjà juste à pouvoir être libre de mes choix. À votre avis, il est arrivé quoi au type ? Il a juste payé un dédommagement à mon propriétaire, propriétaire qui m’a ensuite jeté en dehors de la ville telle l’objet usagé. Considérant que ça coûtait moins cher de retrouver une fille de joie fraîche que de soigner en plus de nourrir celle qui allait ne rien lui apporter, tellement qu’elle avait mal au ventre.

Déjà, mes bras me martyrisaient, c’est à peine si je pouvais bouger des doigts ou les levés. Le pire restait mon estomac qui était fragilisé à l’extrême, je le sentais si j’avalais juste un truc plus solide qu’un bouillions, je mourrais dans d’atroces souffrances. Enfin pire que celle que je subissais. J’ai erré dans les bois en pleine nature. Ironiquement que ce fut la première fois que je me sentais apaisé, si on oublie le fait mes forces diminuaient, qu’il neigeait et par-dessus le marché que j’avais froid. Au moins, je pouvais boire de l’eau en avalant de la neige. La troisième nuit d’errance, j’ai cru apercevoir une forme dans l’ombre, j’ai d’abord pensé qu’il s’agissait d’un tour de mon esprit. Mais la quatrième nuit, j’en ai eu la confirmation que non.

Croyant que ma mort arrivait adossée à un arbre me laissant mourir, un grand démon s’approcha de moi, posa un genou à terre. Il m’ausculta et fut impressionné par ma force de vie, soit toujours présent, malgré ma condition physique. Comment oublier ce court échange ?

- Pourquoi t’accroches-tu autant à la vie ?  Je t’observe depuis trois nuits déjà et malgré tes blessures tu ne succombes pas.

- Je ne sais pas, je crois que j’espère encore survivre. Tu peux m’aider ?

- Si tu renais en démone oui, mais t’as vie humaine bien qu’en au printemps arrive déjà à son dernier hiver.
Il serra le poing se saignant, laissant la paume se remplir. Montre-moi à quel point ta force de vivre est grande.

- Si j’avale ça, mes prochains repas seront humains non ?


J’admets avoir hésité sur l’instant, mais réalisant que chez les humains rien ne mit rattachait, j’ai puisse dans mes dernières ressources pour boire le sang qu’il m’a offert.

Oh bordel, moi qui m’imaginais, que les parois de mon estomac manquant de cédé, ou mes bras ballants qui pendulant serait la pire douleur de mon existence. Heureusement, c’était l’hiver, le soleil ne transperçant pas le ciel grisé. Ça a mis la nuit entière pour finir ma transformation, mon ventre désormais guéri criait tellement famine qu’on aura pu penser qu’il s’agissait d’un ours. Lorsque j’ai repris connaissance, ma bouche était en sang tout comme mes vêtements, je n’ai jamais réussi à déterminer le nombre de personnes que j’ai bouffées ce jour-là. Mais avant de tirer une croix sur ma vie humaine, je partis à Edo pour l’enterrer définitivement. Ça et aussi je voulais prendre pleinement conscience de ma nouvelle force.

Comment ne pas réaliser à quel point ma force avait augmenté ? J’ai couru toute la distance de la forêt, sauté sur les remparts, bondis de toit en toit alors qu’avant je devais tout juste parvenir à bondir plus haut qu’une table et me tracter c’était le parcours du combattant. Les rues je les connaissais bien, du moins celle qui concerne mon ancien travail. Sauf que ce n’est pas le lieu qui m’intéressait, mais mon ancien maître. Fracassant la porte de la maison du plaisir, j’ai traqué ce crétin et deviné qui il y avait avec lui ? Le noble qui a confondu mon estomac avec un sac de frappes.

Vu la tronche de six pieds de long qui tirait les deux, je pense que le changement au niveau de ma tête en disait long sur ma transformation, mais pas au point de ne pas me reconnaître. Le noble en question semblait gêné à l’inverse de mon propriétaire lui étant paniqué. L’aristocrate, je l’ai saisi à la gorge pour mieux le jeter à la fenêtre. Je crois n’avoir jamais vraiment su si la chute lui a été mortelle ou s’il a survécu. Part contre, mon propriétaire lui, aucun doute sur son sort.

- *** tu es vivante ? Mais c’est incroyable !
- Pas grâce à toi, du point de vue humain je suis morte pour revenir en tant que démon.
- Celui qui t’a mortellement blessé il est en bas maintenant, c’est à lui que tu dois t’en prendre.
- Non, il est devant moi. Tu étais là, tu pouvais intervenir au moment ou il m’a baffé. Tu as juste regardé, en buvant un verre. Tu t’es juste plaint que ça coûterait trop cher de me soigner pour me rétablir, surtout que je n’étais pas si rentable. Lui, je m’en fous, il ne vivait pas avec moi, toi part contre oui. Celui qui a tué *** c’est toi, pas cette ruine.
- Tu comptes faire quoi ?
- Te manger pour enterrer *** définitivement et ainsi je renaîtrais en tant que Miyuki.


La suite ? Je l’ai baffée, martelé de coup de pied aux estomacs. Moi qui manquais de force dans le passé, me voilà obligé de me retenir, avant de commencer à le dévoré vivant. Hélas, je n’ai pas put finir, mais les dégâts était là il est mort bien avant que les gardes m’interrompent. L’air de rien une lance en plein poumon, même en temps que démon ça fait mal. Ça ne m’a pas empêché de guérir et de monter en l’air les gardes sur le chemin avant de m’enfuir loin de cette foutue ville.

Ma vie de démon commençait vraiment et dire que ce fut plus simple que ma vie précédente serait mentir. L’apprentissage fut rapide pour ce qui est d’apprendre à se cacher, chasser, manger et se battre. La bagarre concernant aussi bien les démons qui voulaient me virer de leur coin que des pourfendeurs voulant ma tête. Les vingt premières années, ma vie fut très nomade, je n’arrivais pas à trouver le coin qui allait me plaire ou je mis installerais et surtout là ou rien n’y personne ne pourrais m’y déloger. J’affirme d’ailleurs que lorsqu’on cherche on trouve et mon coin de paradis fut un coin sympa en forêt entre le Mont Meakan et le Mont Oakan même si j’étais plus proche du premier Mont que le second citer.

Or pour me sentir chez moi, fallait aussi une maison à moi, surtout que cela peut piéger des humains en quête d’un refuge la nuit, surtout en hivers. Hors les connaissances, ça ne tombe pas du ciel et comme je ne me voyais pas demander des leçons à des démons qui voulaient soit me recruter ou revendiquer mon territoire, j’ai dû beaucoup observer. C’est comme ça que j’ai réussi à construire mes cabanes de plus en plus réussies ou des pièges de mieux en mieux échafauder. Pour apprendre à me battre ? Disons que ça était beaucoup d’improvisation et de mise en pratique ainsi que des tests grandeur nature. Après on ne va pas ce le cacher, quasiment tout ce que je fais, je le reproduis, car je l’ai déjà vu ailleurs. Les uniques exceptions étant mon ombrelle et mon pouvoir sanguinaire. L’ombrelle j’ai pensé qu’il me fallait une arme pour mieux combattre et chasser le pourfendeur s’aventurant sur mes terres. Sans oublier ce maudit soleil. Mon pouvoir sanguinaire je me suis entraîné à l’utilisé. Au passage, j’ai eu beaucoup mal à créer cette ombrelle si particulière.

Et tout ceci a fini par me donner une grande confiance en moi au vu de ce que j’arrivais à réussir sans l’aide de personne. La principale blague étant que je devais défendre mon garde mangé d’humain vivant dans les villes et village aux alentours des petits clans de démon. Le nombre de prédateurs tapant dans ma réserve étant trop grand. Il me fallut agrandir et mieux délimiter mon territoire, ce ne fut pas une mince à faire. Parce que tuer un démon quand on est un démon ce n’est pas facile. Deux solutions, le dévorer, je vous préviens si ce dernier à une bonne régénération il faut être très motivé. Sauf que cette méthode m’ayant vite gavé dans tout les sent du terme. J’ai choisi la seconde méthode, les immobiliser jusqu’à ce que le soleil les tue pour moi.

C’est après avoir calmé des clans qu’en relevant un de mes pièges camouflés grâce à mon camouflage optique. Qu’un humain coincé dedans a fait tomber de sa poche une statuette en bois représentant une femme. La proie suppliait de la laisser repartir qu’il ne dirait rien de sa cachette, sauf que ma maison n’était plus vraiment cachée à mes yeux. Prenant l’idole c’est avec mes doigts que je la regarde réellement, sentant la douceur du bois les détails si propres. Presque un être de bois endormi.

- C’est toi qui l’as fait ?
- Euh oui, part…
- La ferme ! Écoute, je te laisse repartir à condition que tu m’apprennes à sculpter le bois comme ça. De toute façon, refuse ou fait moi perdre du temps et tu finiras en repas.


Autant dire que le choix n’était pas à l’ordre du jour. C’est ainsi que j’ai appris à travailler bois et à me passionner pour ça. Commençant même à décorer, refaire des meubles mieux et plus robustes. Le charpentier ? Il a fini par mourir oui, mais de vieillesse. Grâce à lui j’ai appris qu’on était passé à l’ère Sengoku. J’ai réalisé que j’avais dès lors plus de quatre-vingts ans. J’ai trouvé ça magnifique d’être toujours aussi en forme et d’être encore capable de m’émerveiller en regardant les étoiles. Mon étonnement venant dû fait de la vision des villageois à mon égard, me voyant à la fois comme un terrible démon, mais également comme un esprit protecteur chassant les siens. Un moindre mal qui épargne plus qu’il ne tue. Même maintenant ça me choque encore d’y repenser. Au point, que certains habitants espèrent que les pourfendeurs n’arrivent pas à me tuer pour qu’une forme de protection soit garantie !

C’est à cette période que la production de statuette représentant des pourfendeurs tombés face à moi on commencé à s’installer chez moi. D’instinct, je me donnais plus de mal pour ceux qui sont morts avec bravoure et ayant prouvé leur force. Notamment le pilier de l’eau qui a manqué à plus d’un égard de m’avoir, résultat des courses, une grandeur frayeur, mais j’ai finalement réussi à l’engloutir. Lui a eu presque une statue grandeur nature. J’y pense, mais après le passage de ce guerrier incroyable j’ai eu la paix pendant plus d’un an. Les clans de démon, il n’approchait pas, les pourfendeurs m’ont lâché la grappe. Je me suis dit génial un siècle de vie pour avoir mon paradis et me vois véritable maître de mon territoire incontesté. Le tout en juste cent dix-huit ans de vie.

Mal m’en a pris. Une nuit, j’ai senti l’odeur d’un démon. Je me suis dit que ce n’est pas l’audace qui l’étouffe celui-là. Énervé, j’ai pris mon ombrelle, courant comme une folle à sa rencontre, la terre se soulevait en nuage de fumer. Qu’est-ce que je vois au bout de ma course ? Un géant de deux mètres seul, aussi large qu’une de mes armoires, quatre yeux des cheveux gris. Il fait la paire avec mes cheveux blancs.

- Tu fiches quoi ici ? C’est mon territoire, alors dégage avant de finir au soleil.

Sauf que le colosse n’entendait pas ça de cette oreille m’expliquant la raison de sa présence ici, à manquer de me faire tomber sur les fesses. Les clans de démon en ayant ras le bol de moi, on promit qui rejoindrait le clan Kishinkai s’il parvenait à tuer le démon vivant près du Mont Meakan qui les empêche d’approcher les humains dont il rêve de ce nourrir. Le pire, il a rajouté une chose qu’il ne se contenterait pas de me battre, mais lorsqu’il serait redescendu avec moi en temps que second. Les bras me sont tombés, les mots sont sortis de ma bouche abasourdie.

- T’as une araignée au plafond, t’es au courant ? Qu’importe si tu veux que tes rêves deviennent réalité, il va falloir prouver que t’es le plus fort, car chez les démons seuls les plus forts peuvent régner. (Comme partout en faîte)

Il a juste souri en disant que j’avais raison, en gros l’heure n’est plus à la parole, mais aux actes. Grâce un tour avec mon pouvoir mon ombrelle à frapper férocement son ventre en enchaînant sur son menton. Deux touches à mon avantage, ironiquement ça ne m’a pas mis en confiance. Car jusqu’à maintenant, tous les démons rencontrer se faisaient presque trancher en deux et la tête volait dans le ciel. Lui non, il y avait du sang sur l’estomac, la mâchoire un peu déformée. Mais vu sa puissance, soigner de ce genre de blessure est une broutille. Dans ma vie il y a deux combats combat que je peux qualifier des plus grands de mon existence, ceux ou je me suis battu jusqu’à mes extrêmes limites.

Celui contre Tenma en fait partie. Certes, l’ascendant se releva en ma faveur sur les deux voir quatre premières minutes ? La suite nos joutes s’équilibraient, au mieux, au pire, elle cela demeurai à son avantage. La violence de notre affrontement, je me souviendrais à jamais. J’ai découvert des sons sur mon ombrelle qui mettaient inconnu. Plus ça avançait, plus je comprenais que moi ou les adversaires démoniaques que j’ai affrontés on était surtout des brutes, lui j’aurais dû sentir dès le départ le guerrier. À un stade, il me fallait obligatoirement déplacer le combat pour utiliser mes pièges afin de renverser la vapeur, mais leur impact sur la durée fut moindre. Sans compter qu’il en a plus évité de pièges qu’il en est tombé dedans. Comme les coups au final à oui, je lui donner dans sa gueule, mais prenait en compte qu’il m’a rendu le tout avec les intérêts démultipliés par quatre minimum. Combien de fois, j’ai régénéré mon visage ou mes m’organes broyés et membre arraché sous la puissance de ses poings ?

Le moment fatidique arriva, d’un revers, il me désarma, pour me marteler de poing au sol. Ne voulant rien céder, en me régénérant j’ai cherché à me relever pour lutter. Lui me brisait les membres à chaque essai. Le carnage s’arrêta uniquement lorsque mes mains le suppliaient d’arrêter. Parce bon, j’avais mes limites, sans compter que ça servait plus a rien. En m’acharnant, j’aurais fini au soleil.

La suite me surprit. Bien plus posé qu’il m’a laissait présager. Il m’a expliqué plusieurs raisons de me faire venir au clan, qu’au bout du compte je ferais ce que je fais déjà. Mais à une échelle bien supérieure. Il mit également les choix qu’en ma possession, rester puis disparaître, fuir pour refaire ma vie ailleurs et priez pour ne plus jamais rencontrer plus fort que moi. À l’écoute, ma décision finale ne venu pas en un claquement de doigts. Les yeux ont fixé le sol, ma maison, les arbres décimés par le combat. Il y a un siècle, le tournant de mon histoire fut de devenir un démon solitaire. Est-ce que tous les siècles il va y avoir ce genre de nouveauté ? Il y a eu plusieurs arguments de poids. À commencer que survivre en groupe est plus facile, ouvrant de la possibilité nouvelle. Je ne sais plus vraiment si ce sont ces mots ou mon interprétation, mais il y a aussi le fait d’avoir un territoire plus vaste et cette fois je ne craindrais pas de partir et qu’on saccage tout. Me relevant, je l’ai regardé droit dans les yeux.

- Très bien, j’accepte de devenir l’aînée du clan Kishinkai… Au faîte, ça représente quoi ?

Je me souviens trop bien, de ma réaction lors de ses explications durant notre descente. On lisait sur mon visage « mais dans quoi je me suis embarqué » ? Heureusement, pendant un temps j’étais sous tutelle pour ne pas faire de connerie dans la gestion du clan. Je veux dire jusqu’à maintenant, la gestion du territoire se cantonner au bétail en le protégeant des loups, ça je connais. Loups voulant me piquer mes terres ou couper ma tête. Concernant la gestion des troupes ou le recrutement ça beaucoup moins. Le plus impressionnant reste l’attroupement de démons au pied de la montagne, avant de nous voir certains avaient les bras croisé, certain presque prêt à en découdre. J’ai cru qu’on allait encore se battre toute la nuit. Je me trompais, il eut les yeux aussi grands ouverts que moi en me voyant redescendre avec Tenma. Comme une unique entité, ils se sont tous mis à genoux jurant allégeance à leur nouveau chef et clan.

Si on m’avait qu’un jour je serais la numéro deux du clan de démon le plus important du japon. J’aurais soigneusement évité de croquer l’humain ayant dit ça de peur d’être contaminé par sa connerie. Si c’était un démon, j’aurais toqué son crâne afin de savoir si ça sonne creux ou pas. Les premières années, j’entendis parlé d’un détraqué qui en dépit de ma puissance me trouvait indigne de ma position à cause de mon caractère ou de mon allure de gamine voir même que j’agissais comme tel. Ma réaction fut simple, j’ai pris tout ce petit monde et mis les choses aux clairs.

S’il y en a, un seul d’entre vous qui pense que je ne mérite pas ma place vient me défier en un contre un ! Après voir dévorer un pilier des pourfendeurs ou un astre en duel ! Quoi cette deuxième condition vous effraie ? Vous m’avez déjà vu reculé face à eux ? Vous m’avez déjà vu fuir devant l’ennemi ? Ou même mes responsabilités ? Donc désormais avant de l’ouvrir vous avez intérêt d’en faire au moins autant que moi avant de vous plaindre. Vous pourrez partir, mais après mon combat contre lui. Je pointe de mon ombrelle le démon en question. C’est bien toi qui dis qu’il faut me dégager du clan comme quoi je fais tache. Sauf que si je dois disparaître, tu as intérêt d’être digne d’être le bras droit du père. Sois tu me manges ou je te mange.

Forcément ce couard se déconfit. Pas un combat, mais une exécution dans le cas présent. Après l’avoir bouffé devant tout les autres qui ne produit pas le moindre son. Au point que seule ma mastication résonnait. J’ai ensuite affirmé gaiement qu’il pouvait partir. Depuis, je n’ai plus entendu de ragot disant que je ne méritais pas ma place. D’accord, au commencement dire que j’étais la Kishinkai la plus impliquée dans le clan revenait à dire que les grenouilles font de l’arithmétique. Mais de fils en aiguille, voyant les conséquences de mes actions, j’ai pris mon rôle de plus en plus au sérieux.

J’ai gardé cette habitude de protéger certain humain qui parvenait à me toucher par leur art ou qui m’apporter un plus suffisamment conséquent dans ma vie de tous les jours. Comme il s’agissait que d’une poignée avec mon statut d’aînée personne ne faisait de vague. Sans compter que je protégeais avec pugnacité le clan d’attaque d’autres clans qui subissent soit la destruction ou assimilation.

À force, il m’arrive vraiment d’apprécier les arts humains, la créative artistique me fascinant de plus en plus. Il vrai que je m’en sers surtout pour raconter l’histoire, du clan, rendre hommage aux pourfendeurs qui sont mort en brave. Ou la déco, c’est d’ailleurs comme ça que mon kimono a fini par avoir sa fourrure. J’en ai même profiter pour m’améliorer sur le plan martial même si je reste relativement sommaire au moins mes attaques sont plus efficace.

Ce qui m’aura bien aidé lorsque j’ai fait sa rencontre celle du pilier de la foudre. J’avais maintenant mille quatre cent soixante ans. Autant dire que des humains passer entre mes dents il y en a eu et pas uniquement des faibles. À ce jour pas loin de trois cent pilier. Les seuls que je me préoccupe de compter. Ma proie en question se nommait Raion Huraka, le pilier de la foudre. Pourquoi lui ? Parce qu’il s’attaquait un peu trop souvent au membre du clan et qu’il fallait de temps à autre rappeler au pourfendeur qu’en dehors de notre territoire ou non il ne faut pas nous chercher.

Cet humain était réputé pour sa force, comme Tenma était trop loin, je suis parti m’en occuper moi-même. En traquant ma cible, j’ai compris pars où il comptait passer si j’attaquais le village en qui servirait d’appât. J’ai préparé des pièges avant d’ordonner à des membres d’attaquer le village, le but étant davantage de se faire remarquer que de produire des victimes en masse. Ça a marché, un corbeau parlant a vite fait la navette. C’est alors que je lui ai barré la route. J’ai prononcé son nom en lui faisant comprendre que son erreur c’était d’avoir tué les nôtres trop près de nos terres. Chose qui m’étonna à moitié c’est qu’il connaissait mon nom également. Incroyable, je ne pensais pas que les pourfendeurs finiraient par connaître mon nom. Part contre, je ne m’attendais pas à ce qu’il sache pour les pièges et surtout espérait tomber sur moi.

- Tu sais qu’il y en a pourtant tu n’as pas peur ? Pourquoi se balader sans renfort pour me tuer ?

- La peur je la laisse à ce que je me dois protéger ainsi qu’à ceux que je dois éradiquer comme toi. Quant à ceux qui m’accompagnent, ils sont partis défendre le village.


La phrase finie, d’un pas il manqua de me trancher la moitié de la tête. L’unique raison pour laquelle mon cou resta semi-entier c’est mon bond sur le côté opposé à sa lame. Des souvenirs de mon combat contre Tenma resurgirent, cela allait être aussi difficile. Sauf qu’ici perdre signifiait mourir. Je m’auto félicitais d’avoir améliorer mes compétences au fil des siècles, si j’étais restait la même je serais déjà morte.
Pour la première fois, un combat contre un pourfendeur me faisait peur. Si vif, interdiction formelle de cligner des yeux. Une main tombée, un œil crevé, ma régénération me servait comme jamais. Il fallait ruser, mes trappes, les pièges à ours, ne suffisaient pas à l’attrape. J’utilise mon ombrelle pour me protéger il prenait de la distance ou contournait suffisamment large pour que je puisse l’attraper. Néanmoins, une différence fondamentale entre humain et démon enterait en jeu l’endurance, mais également la capacité de guérison. En restant au corps à corps, mes griffes ont atteint son torse, ses côtes, les chocs avec mon ombrelle provoquaient des vibrations dans son bras. Pourtant je ne criais pas victoire, on parle d’un guerrier ayant manqué de me couper la tête à plus de reprises que tous les humains juste avant lui.
Dans un ultime échange, mon parapluie lui brise une rotule, lui m’arrache une bonne partie de la tête, mais j’ai ajusté la position de ma nuque afin qu’il coupe trop haut. La victoire est mienne, j’ai déjà de nouveau mon visage d’ange intact. Mon ultime charge le pilier demeure debout, ses yeux c’est ceux des plus grands il reste déterminer à m’emporter avec lui. Ma main droite transperce son cœur, la gauche bloque sa lame. Heureuse comme jamais de mon triomphe. Ce que je pensais fini avait un dernier épilogue. Des dessins étranges apparaissent sur son visage. Quoi !? Minute d’où il lui vient une telle force ? Je n’y crois pas, il est en train de m’entamer le cou, il m’empêche de m’extirper. Pourquoi, il ne meurt pas ? Il arrive à l’os de ma nuque. J’ai envisagé de m’arracher les membres pour survivre, seulement la tempête disparue aussi brusquement qu’elle est apparue. C’était quoi ce truc ? S’il avait eu ça dès le départ, jamais je n’aurais gagné. Raion Huraka sera à jamais dans ma mémoire. Il m’a fait réaliser un détail non négligeable, je suis devenue plus forte, Tenma également, le clan aussi, mais les pourfendeurs notamment les piliers tendent à leur tour au fil des générations à dépasser la précédente.

Comprenant que je me suis reposé sur mes lauriers. J’ai commencé à davantage explorer le Japon pour découvrir du paysage et devenir plus forte. Mais va falloir s’occuper de ces pourfendeurs et des Chitsujo. Faudrait le mouvement religieux à l’œil.
À PROPOS DE VOUS - Derrière l'écran, je suis Miyuki et j'ai XX ans. Il s'agit de mon Deuxième compte. J'ai connu le forum depuis mon premier compte. Je pense être disponible 7/7 jours. Enfin, attention a ton ombre,
(c) code by Elcarpo from Reira's design (Libre Graph')


Libre Graph'
Miyuki
Revenir en haut Aller en bas
La Kitsune
j'observe le monde et j'en ris
La Kitsune
Puissance Théorique : Infinie
Messages : 274
Dim 2 Juil 2023 - 22:43
Félicitations, tu es validé !

La Kitsune t'applaudit en riant.

Bravo, tu as passé la première étape de ton voyage ici... Pour poursuivre, il te faut :
- Signaler ton avatar dans le bottin
- Signaler ton souffle ou ton pouvoir sanguinaire
- Réaliser ta fiche technique avec l'aide de mes amis Yokaï gérant le système. Ils vont t'accorder ta puissance théorique sur laquelle tu devras te baser pour gérer tes statistiques.
La Kitsune
https://kimetsu-n-yaiba.forumactif.com
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 1
Sauter vers: